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Le transhumanisme : un projet d’élite pour supprimer l’humain naturel

  • Photo du rédacteur: prunearnoul
    prunearnoul
  • 17 juil.
  • 4 min de lecture



transhumanisme

Décryptage d’une idéologie technocratique qui dissimule une guerre contre la nature humaine


Le vernis progressiste du transhumanisme


Sous des allures de progrès et d’innovation, le transhumanisme est présenté comme une solution aux maladies, au vieillissement et aux limites biologiques de l’homme. Pourtant, derrière ce discours séduisant se cache un projet de contrôle total, porté par une élite technocratique, visant à redéfinir — voire supprimer — l’humain naturel.

Loin d’être une utopie bienveillante, ce mouvement idéologique se révèle être l’arme d’un biopouvoir global, qui entend fusionner l’homme et la machine, effacer les frontières du vivant, et réécrire les lois du biologique au profit de la cybernétique, de l’IA et du génie génétique.


1. Qu’est-ce que le transhumanisme ?


Un projet philosophique, technologique… et politique

Le transhumanisme se définit officiellement comme un courant prônant l’usage des sciences et des technologies pour améliorer les capacités physiques, cognitives et émotionnelles de l’être humain. Cette « amélioration » peut passer par :


  • l’implantation de puces et prothèses neuronales (neuro-augmentation),

  • la modification génétique (CRISPR, thérapies géniques),

  • l’allongement de la durée de vie (biotechnologie anti-âge),

  • la fusion homme-machine (interfaces cerveau-ordinateur),

  • l’upload de la conscience (numérisation de l’esprit).


Mais ces ambitions posent une question centrale : qui décide de ce qu’est “améliorer” l’humain ? Et dans quel but ?


2. Une idéologie eugéniste recyclée


Le transhumanisme n’est pas une idéologie neutre. Il s’inscrit dans la continuité de courants eugénistes du XXe siècle, où les élites prétendaient « améliorer la race humaine » au nom de la science. Aujourd’hui, l’outil a changé — ce n’est plus la sélection des gènes par la reproduction, mais l’édition génétique et l’implantation technologique.

Des figures influentes comme Ray Kurzweil (Google), Yuval Noah Harari (Forum Économique Mondial) ou Elon Musk (Neuralink) défendent ouvertement l’idée d’un dépassement de l’humain biologique. Harari parle de « l’obsolescence de l’humain » et prédit un futur où les masses seront « inutiles ». Ce transhumanisme de caste entend créer une « humanité 2.0 » — une élite augmentée, opposée à une majorité reléguée à l’état de sous-classe biologique.


3. Vers la fin du corps naturel : biologiquement modifiés, technologiquement assistés


Le corps humain est devenu un champ de bataille. Le transhumanisme vise à le rendre obsolète, programmable et modifiable à volonté. Cela passe par plusieurs étapes déjà en cours :


  • Dérèglement du vivant : industrialisation de l’alimentation, vaccination de masse dès le plus jeune âge, hormones, pollution électromagnétique, perturbateurs endocriniens.

  • Dépendance technologique : objets connectés, surveillance permanente, réalité augmentée.

  • Intégration homme-machine : implants médicaux intelligents, interfaces neuronales (BCI), projets de télécommande du cerveau.


Le projet ? Un être post-humain assisté par IA, détaché de ses racines biologiques et émotionnelles, contrôlable à distance.


4. Contrôle des corps, contrôle des esprits : vers une humanité programmable


Ce projet ne se limite pas au biologique. Il s’agit d’une reconfiguration complète de l’humain, de ses pensées, de ses émotions, de ses choix.

Les réseaux sociaux, les algorithmes de recommandation, la collecte massive de données émotionnelles et comportementales (biométrie, géolocalisation, smartwatches) dessinent les contours d’un humain prédictible, manipulable, guidé par l’IA. Le transhumanisme s’inscrit donc dans un projet plus large de déshumanisation cognitive, où la conscience elle-même devient un terrain d’expérimentation.


5. La propagande de l’amélioration : du soin à la soumission

Le transhumanisme infiltre le discours médical sous couvert d’innovation thérapeutique :


  • Une puce dans le cerveau devient une « solution contre Alzheimer ».

  • L’édition génétique se vend comme une « guérison du cancer ».

  • L’IA est présentée comme le futur de la médecine personnalisée.


Mais sous cette bienveillance apparente, l’enjeu est de faire accepter des normes technologiques irréversibles. Le consentement est biaisé, car appuyé par des récits médiatiques anxiogènes (maladie, vieillesse, pandémie, guerre). Le citoyen est préparé psychologiquement à dire “oui” à ce qu’il aurait refusé en temps de paix intérieure.


6. L’humanisme sacrifié : une guerre contre la nature, l’âme et la souveraineté


Le cœur du transhumanisme est antihumaniste : il nie la dignité intrinsèque de l’être humain naturel. En voulant dépasser la condition humaine, il ne l’élève pas : il la remplace. Et ce remplacement est déjà en cours dans plusieurs sphères :


  • Éducation : déconnexion de la nature, apprentissage par écrans, numérisation de la pensée.

  • Travail : remplacement des compétences humaines par l’automatisation, désincarnation des rapports sociaux.

  • Spiritualité : illusion de l’immortalité par la technologie, négation de l’âme et du cycle de l’incarnation.


7. Qui tire les ficelles ? L’agenda des élites technocratiques


Les principaux promoteurs du transhumanisme sont liés aux GAFAM, au Forum Économique Mondial, à l’OTAN, à la Fondation Gates, à DARPA et à de nombreuses structures mêlant intérêts militaires, pharmaceutiques et financiers. Ce n’est pas un hasard si les mêmes acteurs ont piloté la réponse mondiale aux pandémies, les stratégies vaccinales et les plans de « santé globale ».


Ces structures visent le contrôle total des populations par la santé, la peur, la data et la technologie. Le transhumanisme est leur cheval de Troie.


8. Résister au transhumanisme : réhabiliter l’humain vivant


La résistance passe par :


  • Une reconquête du corps naturel : alimentation vivante, soins holistiques, respiration, ancrage.

  • Une réappropriation de la souveraineté corporelle : refuser les injections imposées, les implants non consentis, les objets connectés invasifs.

  • La reconnexion à notre nature spirituelle : cultiver la conscience, le silence, l’intuition, la reliance au vivant.

  • Une désobéissance douce et incarnée : refuser les fausses solutions numériques, recréer du lien humain, transmettre les savoirs organiques.


Rester humain, coûte que coûte


Le transhumanisme n’est pas seulement une menace pour l’avenir : il est déjà à l’œuvre, et c’est aujourd’hui que se joue le choix fondamental entre être un humain libre et relié à la nature, ou devenir un objet biologique modifié sous contrôle algorithmique.


La résistance est possible. Elle commence par le discernement, le courage, et l’amour de notre humanité originelle. Rester humain, c’est aujourd’hui un acte politique, sacré et révolutionnaire.

 

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